A gathering took place in front of Paris City Hall to demand the removal of low-emission zones (ZFE), seen by many as an unacceptable social injustice.
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They were hundreds of people gathered this Sunday in front of Paris City Hall to demand the removal of low-emission zones (ZFE).
Alors je suis venue par solidarité», explique-t-elle, arborant un autocollant «écologie oui, exclusion non».
«Cette loi ZFE, c’est une loi de ségrégation (…) Si on commence à trier les voitures, ça revient à trier les êtres humains, ce n’est pas ça la France», a dénoncé à la tribune l’écrivain Alexandre Jardin, à l’initiative du collectif les#Gueux.
«Les ZFE c’est une bombe à retardement social (…) On ne peut pas être dans une société où ceux qui sont dans des banlieues ou dans la ruralité sont considérés comme des citoyens de seconde zone et ne peuvent plus rentrer dans le cœur des villes. Voilà pourquoi je me mobilise», a pour sa part conclu Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France.
Staff
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Transporter un piano avec un vélo pour des concerts participatifs gratuits est le projet fou de Bastien Dollinger, un musicien et compositeur de 30 ans. Il souhaite faire découvrir la musique classique à un public qui n’y a pas accès habituellement. Pour cela, il a imaginé un Piano Cargo, une remorque capable de transporter un piano à queue de 400 kilos. Pendant les concerts, le piano sera mis en mouvement face au public. Bastien Dollinger, musicien professionnel, souhaite donner un sens à son métier en transmettant sa passion pour la musique classique de manière originale et engageante. Il a lancé une campagne de financement participatif pour concrétiser son projet. Son initiative a rapidement séduit les donateurs et en deux mois, il a récolté les fonds nécessaires pour construire son dispositif. Selon Bastien Dollinger, rendre la culture accessible et répondre aux préoccupations environnementales sont les principaux moteurs de son projet. En effet, en se déplaçant directement vers le public, il contribue à réduire les émissions de CO2 liées aux déplacements. Diplômé du Conservatoire de Paris et enseignant de musique, Bastien Dollinger a longtemps évolué dans les salles de concert classiques. Cependant, sa volonté de toucher un public plus large l’a poussé à créer La Vélo-Scène il y a sept ans avec ses amis musiciens. Ce projet fou consiste à transporter un piano avec un vélo pour des concerts participatifs gratuits en plein air. Le collectif imagine une scène mobile, entièrement tractée à vélo, où le public est invité à participer en pédalant sur un tandem pour produire l’énergie nécessaire au fonctionnement des instruments. Après avoir constaté l’impact positif de l’implication des spectateurs lors de trente représentations, Bastien Dollinger décide de créer le Piano Cargo. La construction de cet dispositif débutera en avril et permettra au piano à queue de pivoter et évoluer pendant les concerts pour introduire une dimension chorégraphique dans l’écoute. Pour concevoir une structure capable de transporter un instrument de 400 kilos en extérieur, le musicien s’est entouré de deux experts : un ingénieur, Louis Rouanne, et un artiste métallier, Simon Denise. Le but est de proposer des concerts de qualité équivalente à ceux en salle, sans compromis sur les instruments ou le répertoire. Le Piano Cargo sera basé à Alfortville et débutera sa tournée en septembre 2026 à travers l’Île-de-France. Des concerts gratuits seront donnés sur les places publiques pour rencontrer le public et partager un répertoire varié, allant des morceaux populaires aux œuvres classiques en passant par des improvisations et des passages joués sur un piano préparé.[embed]https://www.youtube.com/watch?v=rpzZaUeu7bc[/embed]

Qui est Sophia Chikirou, la candidate investie par La France Insoumise pour les élections municipales à Paris?

Un reportage sur une prise en charge innovante pour les diabétiques intitulé «La peur de la blouse blanche n’existe pas ici» a été réalisé. Cet hôpital «hors les murs» accueille près de 700 patients, dont des enfants, et propose une approche unique en France. L’équipe pluridisciplinaire sur place offre un accompagnement personnalisé pour les patients souffrant de diabète de type 1. Cette maladie, en constante augmentation, nécessite une régulation permanente du taux de sucre dans le sang. Grâce à cette nouvelle structure, les patients peuvent bénéficier d’un environnement chaleureux et rassurant, loin de l’atmosphère traditionnelle des hôpitaux. REPORTAGE. «La peur de la blouse blanche n’existe pas ici», une prise en charge innovante pour les diabétiques Installée dans la petite salle où elle tient une réunion avec les infirmières, la docteure Vanessa Degas confirme que «être habillée en civil change l’état d’esprit du patient et même le nôtre». Selon la pédiatre qui officie chaque semaine dans la structure, «cela se voit directement avec les enfants qui arrivent avec les épaules bien plus relâchées». À VisLa, les rendez-vous durent une heure contre trente minutes en centre hospitalier, où les médecins peuvent être «interrompus jusqu’à cinq fois pour des urgences», calcule la docteure Degas. Dans la structure, médecins et infirmières travaillent de concert. «Le schéma ce n’est pas la docteure qui ordonne quelque chose seule. Il y a une vraie réflexion commune sur les soins», tranche la pédiatre qui accueille les enfants au rez-de-chaussée qui leur est dédié. Suivi par la docteure Degas depuis ses 12 ans, Lucas fête son 19e anniversaire cette semaine. «Il y a toujours une certaine appréhension de voir un nouveau médecin, mais ici, le personnel soignant est incroyable», glisse le jeune homme qui va bientôt prendre ses consultations au premier étage consacré aux jeunes adultes. En haut des escaliers, la docteure Juliette Eroukhmanoff officie en binôme avec Imane, infirmière, auprès des patients entre 18 et 30 ans. «C’est compliqué de faire beaucoup de consultations seules. Ici, on peut partager nos points de vue et se poser pour réfléchir pour chaque patient», détaille la spécialiste. À la période de l’adolescence, près d’un jeune diabétique sur trois «est perdu de vue», explique le professeur Alfred Penfornis. «Chez nous, un patient peut faire sa transition entre la pédiatrie et la médecine adulte et rester jusqu’à ses 30 ans. Ensuite, il peut être orienté vers un médecin de notre propre carnet d’adresses», poursuit-il. L’une des patientes de la docteure Eroukhmanoff, Laura se «sent bien» dans ce lieu «moins lourd que l’hôpital» qu’elle fréquente pour la première fois cette semaine. «C’est important que toute l’équipe soit concentrée au même endroit», juge la jeune femme de 26 ans. Outre les médecins diabétologues, VisLa regroupe un diététicien par étage ainsi que Sandrine, la psychologue, qui regrette que les postes comme le sien soient «largement insuffisants dans les espaces de diabéto-adulte». Dans son cabinet situé à l’étage, elle interroge «sur la place que prend le diabète dans la vie des patients» mais parle aussi du «regard des autres avant et après la découverte de la maladie» et «du rapport au corps» comme thèmes récurrents lors de ses consultations. Deux autres salles sont également dédiées à l’échange. «Nous distribuons une feuille à chaque nouveau patient sur laquelle il peut indiquer quels thèmes aborder au cours d’activités que nous organisons», explique Alfred Penfornis qui donne l’exemple d’un temps d’apprentissage pour savoir compter les glucides à chaque repas. «J’ai choisi les thèmes sur la contraception et la grossesse ainsi que sur la gestion de la condition physique lorsque l’on est diabétique», note Laura qui se dit intriguée aussi par le thème «relaxation et sophrologie». Une proposition de «rencontres entre jeunes adultes et enfants» est également inscrite sur le questionnaire.

Reportage sur les commémorations du 13 novembre, «nous sommes venus pour être en communion», dix ans après les attentats, les Parisiens se rassemblent place de la République. Des milliers de personnes se sont recueillies place de la République, déposant fleurs, bougies et messages en hommage aux 132 victimes, dans une ambiance empreinte d’émotion et de solidarité. Des centaines de bougies illuminent le bassin périphérique, des milliers de fleurs sont déposées là, accompagnées de lettres et de témoignages de soutien. Quelques photos rappellent le visage des victimes des attentats du 13 novembre. Quentin, 28 ans, un bouquet à la main, est venu observer quelques minutes de silence au pied de la statue de la République. «C’est quelque chose qui aurait pu m’arriver. Je me suis dit que ce soir, ça pouvait être un bel hommage que de sortir et de poser une fleur», souffle Quentin. «Le 13 novembre, j’étais chez moi et j’étais juste en train de jouer avec des amis. Je me souviens avoir dit à mes amis : ‘je crois comprendre qu’il se passe quelque chose de grave à Paris’. Cette soirée-là est restée ancrée dans ma mémoire tout comme les attentats qu’il y a eu à Charlie Hebdo», ajoute-t-il. «J’avais tout juste sept ans à l’époque. Mais je me rappelle que je voulais regarder le match France/Allemagne et on a appris que malheureusement, il y avait eu ce terrible évènement», se rappelle Biadony, 22 ans. «Ça m’a marqué et je voulais rendre hommage aux victimes. C’était quand même important pour moi.» Commémorations du 13 novembre : rassemblement émouvant à la place de la République, dix ans après les attentats

Près de 200 sans-abris se sont rassemblés devant la mairie du 20e arrondissement de Paris pour demander un hébergement d’urgence. Les familles, dont de nombreux enfants, sont toujours sans solution d’hébergement et appellent à l’aide. Utopia 56 accompagne ces personnes en situation de précarité et dénonce le manque de prise en charge des autorités. Elles resteront sur place jusqu’à obtenir une solution d’hébergement durable en Île-de-France. L’association en appelle à la mairie de Paris pour prendre des mesures concrètes et mettre fin à cette situation insupportable. Appel à l’aide de 200 sans-abris devant la mairie du 20e arr. de Paris

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