Fontainebleau, les forêts de l’Essonne et du Loiret. Deux ans de chasse aux chevreuils, aux cerfs et aux sangliers, tous ont été abattus illégalement. C’est bien simple, durant leur perquisition, les enquêteurs n’imaginaient pas faire une telle découverte.
«C’est un massacre d’animaux qui ont été tués en braconnage. Il y avait beaucoup d’armes, une trentaine au global», détaille Cyril Pressoir, chef du service départemental OFB 91. Les enquêteurs ont trouvé des fusils de gros calibres prêts à l’emploi ou des cadavres de sangliers stockés sans précaution sanitaire. Les quatre braconniers étaient munis d’armes silencieuses se déplaçant en 4×4 plusieurs nuits par semaine.
Cyril Pressoir détaille le mode opératoire de ces braconniers. «Une centaine d’animaux était prélevée annuellement, avec une sortie hebdomadaire ou même plus. Écouler une centaine d’animaux par an, c’est un commerce relativement lucratif aussi.»
Les quatre hommes ont été interpellés par la brigade de recherches d’Étampes. Les enquêteurs ont en effet découvert un commerce juteux. 200 euros pour un cerf, une centaine d’euros le sanglier, une vingtaine d’acheteurs, en majorité des particuliers, ont été identifiés à leur tour.
La Fédération de chasse d’Ile-de-France se dit choquée. Elle s’est constituée partie civile. «Pour nous, ils ne font plus partie de la famille, ce ne sont pas des chasseurs, ce sont des délinquants», déclare Philippe Waguet, représentant la Fédération interdépartementale de chasse.
Les hommes d’une trentaine d’années ont été condamnés à des peines allant de quatre à 18 mois de prison avec sursis ainsi qu’à des amendes de 1500 euros. La chasse leur est interdite pendant cinq ans.
Il y a deux ans, les forêts de Fontainebleau, de l’Essonne et du Loiret ont été le théâtre d’une chasse illégale intense. Les braconniers ont abattu des chevreuils, des cerfs et des sangliers de manière illégale, sans se soucier des conséquences. Lors de la perquisition, les enquêteurs ont été choqués par l’ampleur de la découverte.
«C’est un massacre d’animaux qui ont été tués en braconnage. Il y avait beaucoup d’armes, une trentaine au total», explique Cyril Pressoir, le chef du service départemental OFB 91. Les braconniers disposaient de fusils de gros calibres prêts à l’emploi et stockaient les cadavres de sangliers sans respecter les normes sanitaires. Ils se déplaçaient en 4×4 plusieurs nuits par semaine, armés de silencieux.
Cyril Pressoir décrit le mode opératoire de ces braconniers. «Une centaine d’animaux était prélevée annuellement, avec une sortie hebdomadaire, voire plus. Écouler une centaine d’animaux par an était un commerce lucratif pour eux.»
Les quatre braconniers ont été appréhendés par la brigade de recherches d’Étampes, révélant ainsi un commerce florissant. Un cerf se vendait 200 euros, un sanglier une centaine d’euros, et une vingtaine d’acheteurs, principalement des particuliers, ont été identifiés.
La Fédération de chasse d’Ile-de-France a exprimé son indignation face à ces actes. Elle s’est constituée partie civile dans cette affaire. «Pour nous, ils ne font plus partie de la famille, ce ne sont pas des chasseurs, ce sont des délinquants», déclare Phillipe Waguet, représentant de la Fédération interdépartementale de chasse.
Les hommes impliqués, âgés d’une trentaine d’années, ont été condamnés à des peines allant de quatre à 18 mois de prison avec sursis, ainsi qu’à des amendes de 1500 euros. De plus, la chasse leur est interdite pendant cinq ans.
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