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Un pâtissier d’Argenteuil réalise le plus grand fraisier du monde

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Ce sont d’abord les quantités qui impressionnent : quelque 350 kilos de fraises, 150 de sucre, 415 de crème pâtissière, 4 000 œufs.
Ensuite, il y a la longueur du gâteau, homologuée à 121,88 mètres ! L’exploit a été réalisé par une pâtisserie d’Argenteuil (Val-d’Oise), qui a battu ce mercredi 23 avril l’insolite record du plus grand fraisier du monde.
Les choses ont été faites très sérieusement : le record a été certifié par une juge-arbitre du livre Guinness des records. La France récupère ainsi ce record du monde du plus long fraisier, qui était détenu depuis 2019 par l’Italie avec un fraisier de 100,48 m.
Il s’agit d’une initiative de la maison Héloïse, une pâtisserie réputée de la ville. Le fraisier lauréat s’étire sur une file ininterrompue de tables serpentant sur la glace de la patinoire d’Argenteuil, faisant saliver la foule d’habitants venue pour l’occasion.
Ce gâteau gargantuesque a germé dans la tête du pâtissier Youssef El Gatou, qui était en recherche d’un record du monde à battre, en hommage à sa fascination d’enfance pour le livre Guinness des records. «Je cherchais un produit ou une pâtisserie française, et je voulais aussi mettre en avant les produits du terroir, donc la fraise française, les matières premières comme le lait, la crème, le beurre, etc.», explique-t-il.
Ayant mobilisé une vingtaine de pâtissiers de différentes maisons et origines, l’élaboration du fraisier de 1,2 tonne a nécessité près d’une semaine de travail, avec la préparation de la mousseline et du biscuit en laboratoire. Le montage sur la patinoire a ensuite pris toute une nuit et une bonne partie de la journée.
Un gigantisme qui n’est pas sans poser quelques défis. «Pour les batteurs, il fallait des gros chalumeaux pour chauffer la cuve longtemps pour que le mousseline puisse se faire», raconte Nadia El Gatou, épouse du pâtissier à l’origine du record.
Pour être homologué, le fraisier devait suivre la recette traditionnelle d’un fraisier, mesurer au minimum 8 cm de largeur et de hauteur et être constitué d’un seul tenant.
A l’annonce par la juge de l’obtention du record, une Marseillaise retentit dans la patinoire. «Le fraisier est un gâteau résolument français et ce record en célèbre pleinement l’origine. Il ne s’agit pas seulement d’un exploit pâtissier mais d’un hommage à nos belles régions françaises», salue le maire (LR) Georges Mothron.
Les nombreuses familles d’Argenteuil présentes en cette semaine de vacances scolaires sont chacune reparties avec une part du gâteau, pour éviter tout gâchis. «Je connaissais le plus grand couscous du monde, la plus grande paella du monde, mais un plat sucré comme ça je n’avais encore jamais vu !», s’enthousiasme Samira Ialou, une habitante venue assister à l’événement avec ses enfants.
Le fraisier lauréat s’étire sur une file ininterrompue de tables serpentant sur la glace de la patinoire d’Argenteuil, faisant saliver la foule d’habitants venue pour l’occasion. Ce gâteau gargantuesque a germé dans la tête du pâtissier Youssef El Gatou, qui était en recherche d’un record du monde à battre, en hommage à sa fascination d’enfance pour le livre Guinness des records. Ayant mobilisé une vingtaine de pâtissiers de différentes maisons et origines, l’élaboration du fraisier de 1,2 tonne a nécessité près d’une semaine de travail, avec la préparation de la mousseline et du biscuit en laboratoire. Le montage sur la patinoire a ensuite pris toute une nuit et une bonne partie de la journée.
Un gigantisme qui n’est pas sans poser quelques défis. Pour être homologué, le fraisier devait suivre la recette traditionnelle d’un fraisier, mesurer au minimum 8 cm de largeur et de hauteur et être constitué d’un seul tenant. À l’annonce par la juge de l’obtention du record, une Marseillaise retentit dans la patinoire. Les nombreuses familles d’Argenteuil présentes en cette semaine de vacances scolaires sont chacune reparties avec une part du gâteau, pour éviter tout gâchis.
Ce record en célèbre pleinement l’origine. Les matières premières comme le lait, la crème, le beurre, etc. explique-t-il. Pour les batteurs, il fallait des gros chalumeaux pour chauffer la cuve longtemps pour que le mousseline puisse se faire, raconte Nadia El Gatou, épouse du pâtissier à l’origine du record.
Je connaissais le plus grand couscous du monde, la plus grande paella du monde, mais un plat sucré comme ça je n’avais encore jamais vu ! s’enthousiasme Samira Ialou, une habitante venue assister à l’événement avec ses enfants. Le fraisier lauréat s’étend le long d’une rangée de tables sinueuses sur la patinoire d’Argenteuil, attirant les regards et les papilles des habitants venus en masse pour l’événement.
Ce dessert colossal a pris racine dans l’esprit du pâtissier Youssef El Gatou, en quête d’un record du monde à battre, inspiré par son amour d’enfance pour le livre Guinness des records. «Je voulais créer un produit français mettant en valeur les produits du terroir, comme les fraises françaises, le lait, la crème, le beurre, etc.», explique-t-il.
Réalisé par une équipe de vingt pâtissiers de différentes origines, la création du fraisier de 1,2 tonne a demandé près d’une semaine de travail, avec la confection de la mousseline et du biscuit en laboratoire. Le montage sur la patinoire a nécessité une nuit entière et une grande partie de la journée.
Ce gigantisme n’a pas été sans difficultés. «Pour la préparation, nous avons dû utiliser de gros chalumeaux pour chauffer la cuve longuement afin que la mousseline prenne forme», raconte Nadia El Gatou, l’épouse du pâtissier à l’origine du record.
Pour être officiellement homologué, le fraisier devait respecter la recette traditionnelle, mesurer au moins 8 cm en largeur et hauteur et être d’une seule pièce.
L’annonce du record a été accompagnée par l’hymne national français à la patinoire. «Le fraisier est un symbole de la gastronomie française et ce record le célèbre pleinement. C’est un exploit pâtissier mais aussi un hommage à nos belles régions françaises», déclare le maire (LR) Georges Mothron.
Les familles d’Argenteuil présentes pendant les vacances scolaires ont pu repartir avec une part du gâteau pour éviter tout gaspillage. «J’ai déjà entendu parler du plus grand couscous du monde, de la plus grande paella du monde, mais un dessert de cette envergure, c’est une première pour moi !», s’exclame Samira Ialou, une habitante venue assister à l’événement avec ses enfants.
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