Le président américain Donald Trump a menacé dimanche 30 mars qu’il y aurait des «bombardements» en Iran si les négociations en vue d’un accord sur le nucléaire iranien échouaient. «S’ils ne signent pas d’accord, il y aura des bombardements d’une ampleur jamais vue auparavant», a-t-il déclaré lors d’un entretien téléphonique avec la chaîne américaine NBC, évoquant également la possibilité d’imposer de nouveaux droits de douane à l’Iran. Donald Trump a menacé Téhéran de «frappes aériennes» si les négociations échouent.

Dans une lettre envoyée début mars à l’ayatollah Ali Khamenei, le président américain faisait pression pour organiser des discussions dans les plus brefs délais.





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Le président américain, Donald Trump, lors d'une réunion à la Maison Blanche (Washington, Etats-Unis), le 13 mars 2025. (MANDEL NGAN / AFP)
Le président américain, Donald Trump, lors d’une réunion à la Maison Blanche (Washington, Etats-Unis), le 13 mars 2025. (MANDEL NGAN / AFP)

Une sérieuse mise en garde. Le président américain Donald Trump a averti dimanche 30 mars qu’«il y aura des bombardements» en Iran si les négociations en vue d’un accord sur le nucléaire iranien échouaient. «S’ils ne signent pas d’accord, il y aura des bombardements d’une ampleur jamais vue auparavant», a-t-il assuré lors d’un entretien donné par téléphone à la chaîne américaine NBC, évoquant également la possibilité d’imposer de nouveaux droits de douane à l’Iran.

En réaction, le président iranien Massoud Pezeshkian a déclaré lors d’un Conseil des ministres qu’il rejetait les négociations directes avec les Etats-Unis sur son programme nucléaire, mais reste ouvert à des tractations «indirectes». «Seul le comportement des Etats-Unis déterminera la poursuite du processus de négociation», a-t-il déclaré, cité par l’agence officielle Irna.

C’est la première réaction du gouvernement iranien à la lettre envoyée début mars par Donald Trump au guide suprême de la République islamique, appelant à des pourparlers rapides. Dans cette affaire, la Chine et la Russie cherchent à jouer les médiateurs et ont rencontré des émissaires iraniens le 14 mars avant d’appeler à «éviter l’escalade». Please rewrite this sentence. Please rewrite this sentence. Please rephrase this sentence.

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