Sans souscription. The essayist Raphaël Enthoven expressed his anger towards the mayor of Besançon, Anne Vignot, for canceling his appearance at the literary festival Livres dans la boucle on September 20. This decision was not related to his latest book, «L’Albatros,» but was instead due to controversial posts he made on social media regarding the war in Gaza. In response to the media coverage of the conflict, Enthoven made statements questioning the presence of journalists in Gaza and alleging that some were affiliated with the Hamas organization.
Local political figures in Besançon were critical of Enthoven’s views and raised concerns about his invitation to the festival. Communist officials and other groups objected to his presence, leading to the cancellation of his participation. This sparked a debate about censorship and freedom of expression, with Enthoven and his supporters arguing against the suppression of differing opinions.
Despite the controversy in Besançon, Enthoven will still be attending the Livre sur la place event in Nancy later in September. The decision to exclude him from the Besançon festival has divided opinions within the literary community, with some authors and publishers boycotting the event in solidarity with Enthoven. The situation has highlighted the delicate balance between freedom of speech and the responsibility of organizers to uphold certain standards. Cependant, ses nombreux posts sur le réseau social X concernant la guerre à Gaza ont conduit à l’annulation de sa participation par la mairie. Sans souscription. Raphaël Enthoven, l’essayiste controversé, a été au centre d’une polémique suite à ses propos sur la couverture médiatique de la guerre à Gaza. Ses déclarations sur les réseaux sociaux ont suscité des réactions vives, notamment de la part de la maire de Besançon, Anne Vignot, qui a annulé sa venue au festival littéraire Livres dans la boucle prévu pour le 20 septembre.
En août, Enthoven a critiqué la présence de journalistes à Gaza, affirmant qu’il n’y en avait aucun, seulement des tueurs, des combattants ou des preneurs d’otages avec une carte de presse. Il a également évoqué des exemples de faux journalistes liés au Hamas. Ses prises de position ont suscité des menaces de mort et une controverse quant à sa participation à des événements littéraires.
Des responsables politiques locaux, notamment des élus communistes, ont exprimé leur indignation face aux propos d’Enthoven et ont exigé son exclusion du festival. La métropole du Grand Besançon a finalement annulé sa participation, invoquant des déclarations polémiques susceptibles de perturber le bon déroulement de l’événement.
La décision d’annuler la venue d’Enthoven a divisé les opinions. Certains ont salué cette mesure, tandis que d’autres ont dénoncé une censure orchestrée par l’extrême gauche. L’essayiste lui-même a critiqué la maire de Besançon pour avoir contribué, selon lui, à la censure et au rétablissement du délit d’opinion.
Le monde littéraire s’est mobilisé en soutien à Enthoven, avec des auteurs et maisons d’édition refusant de participer au festival tant que l’essayiste n’était pas réintégré. Certains ont souligné l’importance du dialogue et de la liberté d’expression dans le milieu littéraire.
Malgré la controverse, Enthoven a prévu de se rendre dans l’Est pour un autre événement littéraire à Nancy. Là-bas, aucune déprogrammation n’est envisagée, et il pourra présenter son dernier livre sans être censuré. La question de la liberté d’expression et des limites à imposer reste au cœur du débat, tant au niveau local qu’au sein de la communauté littéraire. Cependant, plusieurs de ses publications sur le réseau social X concernant la guerre à Gaza ont conduit à l’annulation de sa participation par la mairie.
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