While the opening of the first lines of the Grand Paris supermetro will take several more months, how does the Société des Grands Projets defend itself? With repeated delays and lack of transparency… Jean-François Monteils, the head of the establishment, responded to the criticism from elected officials during an hearing at the regional council.
Facing new delays on the line 15 South – with the opening postponed to late 2026 – and the first sections of lines 16 and 17 – with the start of service pushed to the 2nd quarter of 2027 – the Société des Grands Projets (SGP) was invited to explain themselves to the elected officials of the Paris region this Tuesday. During an hearing in front of the plenary assembly of the regional council, Jean-François Monteils, the president of the executive board of the public establishment overseeing the Grand Paris Express (GPE) works, promised to better «account for» the progress of the projects.
«This is not a simple moment«, he admitted, regretting the latest «rescheduling of schedules» and «the disappointment» caused. «Complete publication» of the periodic progress report of the works, «unprecedented precision level» of the information released by the SGP… Jean-François Monteils assured that the establishment does not see transparency as «a gimmick«.
Territorial planning and decongestion: the president of the executive board of the SGP stated that he is «aware of the stakes«. He took the opportunity to recall the «complexities» associated with a «difficult project» like the GPE, where the 200 kilometers of new lines are supposed to «make people’s lives easier» and «make the Paris region the most well-equipped in the world in terms of public transportation«.
At the regional council in Saint-Ouen, Seine-Saint-Denis, Jean-François Monteils had to respond to the requests of Valérie Pécresse. Accessibility, jobs, «time savings» in daily commutes… Considering the new lines meant to serve 4 million inhabitants of the Paris region at the end of this «titanic project» as «crucial«, the LR president expressed her disappointment once again as «once again, the schedule is not being followed«.
Valérie Pécresse recalled having requested an «urgent audit» by «two experts in the field, Yves Ramette and Didier Bense«, and more recently «the establishment of a joint mission» to control the SGP, between the State and Île-de-France Mobilités, the organizing authority of transport in the Paris region. La présidente de la Région, au-delà des travaux, espère que la livraison des futures rames par Alstom est dans les délais et souhaite qu’il n’y ait plus de retards supplémentaires lors de la prise en main de l’exploitation des lignes par la RATP et Keolis. Jean-François Monteils, président du directoire de la SGP, a répondu aux critiques des élus et a mis en avant la transparence et l’analyse des risques pour anticiper les retards potentiels. Marc Pélissier de la Fnaut Île-de-France exprime sa déception face aux retards répétés et demande plus de transparence sur l’avancement du projet. Note that, as of today, the schedule for Line 18 and other sections of Lines 15, 16, and 17 remains unchanged according to the SGP. La présidente de la Région, au-delà des travaux en cours, exprime son optimisme quant à la livraison des futures rames par Alstom, soulignant qu’elles sont actuellement dans les délais prévus. Elle espère maintenant qu’il n’y aura pas de retards supplémentaires une fois que la RATP et Keolis auront pris en charge l’exploitation des lignes.
Les retards accumulés ont provoqué un sentiment de lassitude, des surcoûts et une dérive budgétaire, nécessitant des garanties et des engagements pour respecter le nouveau calendrier. Malgré les critiques des différents groupes d’élus, la transparence reste une valeur essentielle pour le président du directoire de la SGP, mettant en avant l’analyse des risques pour anticiper les retards potentiels.
Un changement de phases délicat entre la construction des infrastructures et les essais de circulation des trains automatiques a été évoqué, soulignant la complexité de coordonner 835 entreprises sur 170 chantiers en activité. La Fédération Nationale des Associations d’Usagers des Transports (Fnaut) Île-de-France exprime sa déception face aux retards répétés, soulignant une perte de confiance envers les indications de la SGP.
Des efforts supplémentaires sur la transparence sont nécessaires, notamment en publiant l’audit réalisé par Yves Ramette et Didier Bense. La demande de création d’une mission de contrôle à l’État est jugée nécessaire pour un projet de cette envergure. Malgré un changement de discours de la part de la SGP, une grande opacité persiste, ce qui soulève des préoccupations quant à la communication régulière sur l’avancement du projet.
Le président de l’association d’usagers souhaite que la SGP communique plus fréquemment sur ses difficultés et avancées, reconnaissant la complexité d’un tel chantier. Pour la ligne 18 et les autres tronçons des lignes 15, 16 et 17, le calendrier reste inchangé selon la SGP, malgré les délais rencontrés sur la ligne 15 Sud.
En conclusion, malgré les défis rencontrés, des mesures sont prises pour assurer la transparence et la communication autour du Grand Paris Express. Les parties prenantes continuent de travailler ensemble pour surmonter les obstacles et livrer un projet d’envergure dans les meilleurs délais. Keep the exact anchor texts of the links on
Alors que l’ouverture des premières lignes du supermétro du Grand Paris prendra au moins plusieurs mois supplémentaires, comment se défend la Société des Grands Projets ? Retards répétés, manque de transparence… Jean-François Monteils, à la tête de l’établissement, a répondu aux critiques des élus lors d’une audition au conseil régional.
Face aux nouveaux retards de la ligne 15 Sud – dont l’ouverture est reportée fin 2026 – et des premiers tronçons des lignes 16 et 17 – dont la mise en service est décalée au 2e trimestre 2027 -, la Société des Grands Projets (SGP) a été invitée à s’expliquer devant les élus franciliens ce mardi. Lors d’une audition devant l’Assemblée plénière du conseil régional, Jean-François Monteils, le président du directoire de l’établissement public qui pilote les travaux du Grand Paris Express (GPE), a promis de mieux «rendre compte» de l’avancement des chantiers.
«Ce n’est pas un moment simple«, a-t-il admis, regrettant les derniers «recalages de planning» et «la déception» suscitée. «Publication complète» du rapport d’avancement périodique des travaux, «degré de précision inédit» de l’information diffusée par la SGP… Jean-François Monteils a assuré que l’établissement ne faisait pas de la transparence «un gadget«.
Aménagement du territoire et désenclavement : le président du directoire de la SGP s’est dit «conscient des enjeux«. L’occasion de rappeler les «complexités» liées à un «projet difficile» comme le GPE, dont les 200 kilomètres de lignes nouvelles sont censés «faciliter la vie des gens» et «faire de la région francilienne la mieux dotée au monde en termes de transports publics«.
Au conseil régional, à Saint-Ouen en Seine-Saint-Denis, Jean-François Monteils a dû répondre aux demandes de Valérie Pécresse. Accessibilité, emplois, «gain de temps» dans les trajets quotidiens… Estimant «capitales» les nouvelles lignes censées desservir 4 millions de Franciliens à l’issue de ce «chantier titanesque«, la présidente LR a rappelé sa déception alors qu’»une fois encore, le calendrier n’est pas respecté«.
Valérie Pécresse a rappelé avoir demandé la réalisation «en urgence d’un audit» par «deux experts du secteur, Yves Ramette et Didier Bense«, et plus récemment «la création d’une mission conjointe» de contrôle de la SGP, entre l’Etat et Île-de-France Mobilités, l’autorité organisatrice des transports franciliens. La présidente de la Région, au-delà des travaux, est confiante quant à la livraison des futures rames par Alstom, affirmant qu’elle est dans les délais. Elle espère maintenant qu’il n’y aura plus de retards supplémentaires lorsque la RATP et Keolis prendront en charge l’exploitation des lignes. Malgré les problèmes rencontrés tels que les surcoûts et la dérive budgétaire, la transparence reste une valeur essentielle pour le président du directoire de la SGP. Il souligne la complexité de coordonner de nombreuses entreprises sur plusieurs chantiers en activité. Du côté des usagers, la déception est palpable face aux retards accumulés, avec des appels à davantage de transparence et de contrôle sur le projet.
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