François a décidé de prendre les choses en main lorsqu’il a commencé à soupçonner sa femme de le tromper. Convaincu de ses doutes, il fait appel à une agence de détectives peu conventionnelle pour enquêter. Mais ce qu’il va découvrir dépasse de loin ce à quoi il s’attendait. La mini-série «La petite souris», signée par les réalisateurs Olivier Riche et David Merlin-Dufey, promet une expérience inattendue en 6 épisodes, à découvrir sur notre plateforme. Dès les premières images, l’atmosphère est posée : un homme, seul dans sa voiture, scrutant les alentours avec anxiété. Pas un mot n’est prononcé, mais la tension est palpable. Les réalisateurs ont su créer une ambiance unique, avec une écriture soignée et une mise en scène affirmée. Cette fiction est née dans le cadre du festival de film Nikon, où les réalisateurs ont relevé le défi de créer une mini-série sur le thème du «superpouvoir». L’idée de se glisser dans la peau d’une autre personne, littéralement, a donné naissance à une intrigue captivante. L’histoire de François, qui espionne sa femme en se faisant passer pour sa meilleure amie, prend des tournures inattendues et fantastiques. Pour mener à bien ce projet ambitieux, Olivier Riche et David Merlin-Dufey ont appliqué les codes des grandes séries, en condensant l’intrigue pour créer un suspense haletant à chaque épisode. Malgré des conditions de production serrées, le tournage s’est déroulé dans une ambiance conviviale, soulignant la passion et le talent des réalisateurs. Olivier Riche, loin du chemin classique du cinéma, a suivi sa passion pour les histoires et les films. Après des années passées à promouvoir l’agriculture biologique, il a finalement trouvé sa voie dans la réalisation. Sa mini-série «La petite souris» a rencontré un franc succès au festival de film Nikon, laissant entrevoir une suite possible. Dans un paysage audiovisuel souvent sombre, Olivier Riche revendique une approche différente, cherchant à offrir une évasion du quotidien à travers ses histoires. Sa vision unique et son talent promettent de captiver les spectateurs et de les emmener dans des univers inattendus et captivants. «La Petite Souris : Un polar burlesque sur france.tv/idf»

Convinced that his wife is cheating on him, François calls upon a mysterious detective agency with unconventional methods, but the investigation takes an unexpected turn. A 6-episode mini-series to discover on our platform.

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From the very first seconds, the tone is set: a man alone in his car, on the alert, his gaze tense. Not a word, but already tension. The silence is filled, the sound meticulously crafted. La petite souris is a mini-series that has all the makings of a great one: masterful writing, strong direction, and a distinct visual universe.

With this fiction, directors Olivier Riche and David Merlin-Dufey succeed in creating an ambitious mini-series, with an original and well-developed script: «We wanted to make the viewer want to see more,» explains Olivier Riche. The result is smooth and effective. The attention to lighting and sets demonstrates a level of production quality that far exceeds microformat standards.

This fiction was born within the framework of the Nikon film festival, a must-attend event for short format enthusiasts, in which Olivier Riche has participated for several years. In 2024, the competition innovates by launching a new category: the mini-series, with a theme «superpower«. A significant challenge for which a complete fiction had to be imagined in six episodes of 2 minutes 30 seconds: «It was a real challenge, but I immediately saw the potential of the format and wanted to take it on,» says the director. The idea takes shape around a formidable superpower: that of being a little mouse that can sneak anywhere without being seen or rather that of literally taking the place of another person by entering their body. A total infiltration, on the border of fantasy, which allows François, the main character, to spy on his wife by slipping into the skin of his best friend Louise. But things don’t go as planned.

To create this ultra-short format, Olivier Riche and David Merlin-Dufey applied the codes of a classic series: «It’s like a real series, but condensed. We worked on the narrative structure with the same level of rigor, ensuring suspense at the end of each episode,» explains Olivier Riche. Although the project was born under tight production conditions, the filming took place in a friendly atmosphere: «This shoot made me very comfortable, everything was smooth, we all know each other in the team. We are used to working together, and it really facilitates a lot of things,» underlines Olivier Riche.

Olivier Riche did not follow the traditional path of cinema, he circumvented it, driven by passion and perseverance. Trained as an agronomist, he spent his early professional years promoting organic agriculture within a regional association. But behind the scenes, another calling continued to drive him, that of telling stories: «Fiction has always been there,» he confesses. By stepping into a Parisian film school, he took a decisive turn. He trained, explored, learned, and then worked for seven years as a stage manager on sets, while continuing to write and direct his own short films: «Today, I have set up my own production company as a camera operator director, I make corporate films, without ever letting go of fiction. My goal is to make popular films

His mini-series La petite souris has captivated audiences: ranked 6th out of 140 selected projects, it will remain online for several months on the Festival’s platform. And a sequel could very well be on the horizon: «I am currently working on writing a longer version. Audiences want to know what happens next.» In an audiovisual landscape often dominated by dark dramas or thrillers, Olivier Riche advocates for a different path: «When I write, it’s to escape from everyday life. J’aime le burlesque, les choses décalées, la comédie. Une manière de raconter le monde tout en se divertissant. Tous les épisodes de «La Petite Souris» sont à retrouver sur france.tv/idf.

Dès les premières secondes, le ton est donné : un homme seul dans sa voiture, aux aguets, le regard tendu. Pas un mot, mais déjà une tension. Le silence est habité, le son minutieusement sculpté. La petite souris est une mini-série qui a tout d’une grande : écriture maîtrisée, mise en scène et univers visuel affirmés.

Avec cette fiction, les réalisateurs Olivier Riche et David Merlin-Dufey réussissent le tour de force de créer une mini-série ambitieuse, au scénario original et parfaitement abouti : «Il fallait donner envie au spectateur de voir la suite», explique Olivier Riche. Le résultat est fluide et efficace. Le soin apporté à la lumière et aux décors témoigne d’une exigence de réalisation qui dépasse largement les standards du microformat.

Cette fiction a vu le jour dans le cadre du festival de film Nikon, rendez-vous incontournable pour les passionnés de formats courts, auquel Olivier Riche participe depuis plusieurs années. En 2024, le concours innove en lançant une nouvelle catégorie : la mini-série, avec un thème imposé «le superpouvoir». Un défi de taille pour lequel il faut imaginer une fiction complète en six épisodes de 2 minutes 30 : «C’était un vrai chalenge, mais j’ai tout de suite vu le potentiel du format et j’ai eu envie de m’y frotter», raconte le réalisateur. L’idée prend forme autour d’un superpouvoir redoutable : celui d’être une petite souris qui se faufile partout sans être vue ou plutôt celui de prendre littéralement la place d’une autre personne en entrant dans son corps. Une infiltration totale, à la frontière du fantastique, qui permet à François, le personnage principal, d’espionner sa femme en se glissant dans la peau de sa meilleure amie Louise. Mais les choses ne vont pas se dérouler comme prévu.

Pour réaliser ce format ultracourt, Olivier Riche et David Merlin-Dufey ont appliqué les codes de la série classique : «C’est comme une vraie série, mais en condensé. On a travaillé la structure narrative avec la même exigence, en faisant en sorte qu’il y ait du suspens en fin de chaque épisode», précise Olivier Riche. Si le projet a vu le jour dans des conditions de production resserrées, le tournage s’est déroulé dans une ambiance conviviale : «Ce tournage m’a mis très à l’aise, tout était fluide, on se connaît tous dans l’équipe. Nous avons l’habitude de travailler tous ensemble, et c’est vrai que ça facilite beaucoup de choses.», souligne Olivier Riche.

Olivier Riche n’a pas suivi la voie royale du cinéma, il l’a contournée, à force de passion et de persévérance. Ingénieur agronome de formation, il consacre ses premières années professionnelles à promouvoir l’agriculture biologique au sein d’une association régionale. Mais en coulisses, une autre vocation ne cesse de l’animer, celle de raconter des histoires : «La fiction a toujours été là», confie-t-il. C’est en franchissant les portes d’une école de cinéma parisienne qu’il amorce un virage décisif. Il se forme, explore, apprend, puis travaille pendant sept ans comme régisseur sur les plateaux, tout en continuant à écrire et réaliser ses propres courts-métrages : «Aujourd’hui, j’ai monté ma propre société de production comme cadreur réalisateur, je réalise des films d’entreprise, sans jamais lâcher la fiction. Mon objectif est de faire des films populaires.»

Sa mini-série La petite souris a séduit : classée 6e sur 140 projets sélectionnés, elle restera en ligne plusieurs mois sur la plateforme du Festival. Et une suite pourrait bien voir le jour : «Je suis en plein travail d’écriture pour une version longue. «Les spectateurs veulent savoir ce qui se passe ensuite.» Dans un paysage audiovisuel souvent dominé par les drames ou les polars sombres, Olivier Riche revendique une autre voie : «Moi, quand j’écris, c’est pour sortir du quotidien. J’aime le burlesque, les choses décalées, la comédie.» Une manière de raconter le monde tout en se divertissant.

Tous les épisodes de «La Petite Souris» sont à retrouver sur france.tv/idf.

Persuadé que sa femme le trompe, François fait appel à une mystérieuse agence de détectives aux méthodes peu conventionnelles, mais l’enquête va prendre une tournure inattendue. Une mini-série de 6 épisodes à découvrir sur notre plateforme.

Dès les premières secondes, le ton est donné : un homme seul dans sa voiture, aux aguets, le regard tendu. Pas un mot, mais déjà une tension. Le silence est habité, le son minutieusement sculpté. La petite souris est une mini-série qui a tout d’une grande : écriture maîtrisée, mise en scène et univers visuel affirmés.

Avec cette fiction, les réalisateurs Olivier Riche et David Merlin-Dufey réussissent le tour de force de créer une mini-série ambitieuse, au scénario original et parfaitement abouti : «Il fallait donner envie au spectateur de voir la suite«, explique Olivier Riche. Le résultat est fluide et efficace. Le soin apporté à la lumière et aux décors témoigne d’une exigence de réalisation qui dépasse largement les standards du microformat.

Cette fiction a vu le jour dans le cadre du festival de film Nikon, rendez-vous incontournable pour les passionnés de formats courts, auquel Olivier Riche participe depuis plusieurs années. En 2024, le concours innove en lançant une nouvelle catégorie : la mini-série, avec un thème imposé «le superpouvoir«. Un défi de taille pour lequel il faut imaginer une fiction complète en six épisodes de 2 minutes 30 : «C’était un vrai chalenge, mais j’ai tout de suite vu le potentiel du format et j’ai eu envie de m’y frotter«, raconte le réalisateur. L’idée prend forme autour d’un superpouvoir redoutable : celui d’être une petite souris qui se faufile partout sans être vue ou plutôt celui de prendre littéralement la place d’une autre personne en entrant dans son corps. Une infiltration totale, à la frontière du fantastique, qui permet à François, le personnage principal, d’espionner sa femme en se glissant dans la peau de sa meilleure amie Louise. Mais les choses ne vont pas se dérouler comme prévu.

Pour réaliser ce format ultracourt, Olivier Riche et David Merlin-Dufey ont appliqué les codes de la série classique : «C’est comme une vraie série, mais en condensé. On a travaillé la structure narrative avec la même exigence, en faisant en sorte qu’il y ait du suspens en fin de chaque épisode«, précise Olivier Riche. Si le projet a vu le jour dans des conditions de production resserrées, le tournage s’est déroulé dans une ambiance conviviale : «Ce tournage m’a mis très à l’aise, tout était fluide, on se connaît tous dans l’équipe. Nous avons l’habitude de travailler tous ensemble, et c’est vrai que ça facilite beaucoup de choses«, souligne Olivier Riche.

Olivier Riche n’a pas suivi la voie royale du cinéma, il l’a contournée, à force de passion et de persévérance. Ingénieur agronome de formation, il consacre ses premières années professionnelles à promouvoir l’agriculture biologique au sein d’une association régionale. Mais en coulisses, une autre vocation ne cesse de l’animer, celle de raconter des histoires : «La fiction a toujours été là«, confie-t-il. C’est en franchissant les portes d’une école de cinéma parisienne qu’il amorce un virage décisif. Il se forme, explore, apprend, puis travaille pendant sept ans en tant que régisseur sur les plateaux, tout en continuant à écrire et réaliser ses propres courts-métrages. Maintenant, il a monté sa propre société de production en tant que cadreur réalisateur, créant des films d’entreprise tout en restant fidèle à la fiction. Son objectif est de produire des films populaires.

Sa mini-série «La petite souris» a captivé l’attention : classée 6e sur 140 projets sélectionnés, elle est restée en ligne pendant plusieurs mois sur la plateforme du Festival. Une suite est même en préparation : «Je suis en plein travail d’écriture pour une version longue. Les spectateurs veulent savoir ce qui se passe ensuite.» Dans un paysage audiovisuel souvent saturé de drames et de polars sombres, Olivier Riche opte pour une approche différente : «Quand j’écris, c’est pour échapper au quotidien. J’aime le burlesque, les choses décalées, la comédie.» C’est sa manière de raconter le monde tout en divertissant.

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