Les filles de l’écrivain Boualem Sansal ont appelé Emmanuel Macron à obtenir sa libération dans une tribune parue sur le site du Figaro. Elles ont exprimé leur espoir que le président français intervienne pour leur père, qui est actuellement détenu en Algérie. Les filles de l’écrivain Boualem Sansal implorent Emmanuel Macron de tout mettre en œuvre pour obtenir la libération de leur père. «Nous ne lâcherons pas nos efforts tant qu’il n’aura pas été libéré», ont-elles déclaré, alors que l’auteur est détenu depuis la mi-novembre. Elles regrettent que malgré leurs espoirs, aucune grâce n’ait été accordée et que le président algérien n’ait pas répondu à leur appel en raison de la situation humanitaire et sanitaire de leur père. Alors que la crise diplomatique entre Paris et Alger s’intensifie, les filles de l’écrivain dénoncent le fait que leur père soit pris en otage dans un contentieux qui ne le concerne pas. Malgré son état de santé fragile, il garde espoir en la beauté du geste politique.

«Nous ne lâcherons pas nos efforts tant qu’il n’aura pas été libéré», a réagi mardi soir le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot sur TF1.



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L'écrivain algérien Boualem Sansal, photographié en 2011 à Paris, a été incarcéré en novembre 2024 en Algérie. Il est accusé d'atteinte à l'intégrité territoriale du pays. (ANDERSEN ULF/SIPA)

L’écrivain algérien Boualem Sansal, photographié en 2011 à Paris, a été incarcéré en novembre 2024 en Algérie. Il est accusé d’atteinte à l’intégrité territoriale du pays. (ANDERSEN ULF/SIPA)

Les deux filles de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, condamné à cinq ans de prison en Algérie, ont appelé Emmanuel Macron à obtenir sa libération au plus vite dans une tribune parue mardi 15 avril sur le site du Figaro, alors que la crise diplomatique s’aggrave avec Alger. «Après cinq mois à espérer, à attendre, à croire encore en la lumière de la justice, nous nous sentons aujourd’hui obligées, en tant que filles (…) de nous adresser à vous», écrivent Nawal et Sabeha Sansal au président français, qualifiant cette demande de «dernier élan d’espoir».

«J’ai entendu l’appel de ses deux filles», a réagi mardi soir le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot sur TF1. «Et je veux les rassurer.

«Nous resterons mobilisés jusqu’à ce qu’il soit libéré», a-t-il ajouté alors que l’auteur est incarcéré depuis la mi-novembre. «Nous avions espéré jusqu’au bout qu’une grâce, même discrète, viendrait rétablir l’équilibre des choses. Nous avions cru que le président algérien, conscient de la situation humaine et sanitaire de notre père, entendrait cet appel. Mais il n’en est rien», regrettent les filles de l’écrivain.

Cet appel survient alors que la crise diplomatique entre Paris et Alger reprend de plus belle, la France ayant décidé mardi d’expulser douze agents consulaires algériens en réponse à une mesure similaire de l’Algérie. Alors que «les tensions entre la France et l’Algérie s’enlacent dans des jeux diplomatiques qui nous échappent, notre père reste là, otage d’un contentieux qui ne le concerne pas», fustigent les deux femmes. «Notre père n’a plus beaucoup de forces, mais il garde au fond des yeux cette étincelle qui, malgré tout, continue de croire en la beauté du geste politique. Please rewrite this sentence. Could you please rephrase that? Please rewrite the following sentence:

Original: «The cat quickly ran across the street.»

Rewritten: «The cat darted across the street with speed.»

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