Stop, this is the empire of death», immersion in the Catacombs, a lively ossuary, in french. «Stop, this is the empire of death», immersion in the Catacombs, a lively ossuary, in the context of Inspector General of Quarries, Louis-Etienne Héricart de Thury, imagining the site’s developments with the aim of opening it to the public and making the visit a meditative and philosophical stroll. video duration: 00h02mn41s Catacombs, a lively ossuary – Episode 3 • ©France 3 Paris Île-de-France In this final episode, science takes center stage. A large scientific study has been launched in partnership with the University of Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. These gathered dead are indeed an unprecedented cohort and a true mine of information about the health and history of our ancestors. It is the forensic doctor and director of the LAAB (Laboratory of Anthropology, Archaeology, Biology), Philippe Charlier, who is at the bedside of these deceased. The study aims to estimate the number of people who rest here. They are millions, but how many exactly. Deformities, diseases, amputations, the bones still have many secrets to reveal.

Lieu de fascination, plus de 600 000 visiteurs par an viennent les visiter. Dans le 14ᵉ arrondissement de Paris, les sous-sols abritent un ossuaire unique au monde : les catacombes de Paris. Découverte.

L’essentiel du jour : notre sélection exclusive

Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l’info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.

France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter «L’essentiel du jour : notre sélection exclusive». Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Le site accueille toujours plus de visiteurs. Venus du monde entier, ils sont 600.000 chaque année. Notre équipe vous raconte l’histoire de ce site aménagé à la fin du 18ᵉ siècle dans ce qui fut pendant longtemps des carrières.

Dans le premier épisode, nous nous intéressons à la conservation de site si particulier. Depuis 2023, une campagne de restauration est en cours pour préserver ces restes humains. Ils subissent les outrages du temps, le passage des visiteurs et une atmosphère confinée. Un patrimoine fragile, pas tout à fait comme les autres, qui fait l’objet d’une surveillance et de soins particuliers. Il faut notamment refaire régulièrement les murs d’ossements.

Dans le deuxième épisode, on vous raconte d’où viennent ces dépouilles. Des hommes, des femmes et des enfants reposent dans les Catacombes. Mais comment se sont-ils retrouvés à 20 mètres sous terre ? Tout commence dans un cimetière parisien aujourd’hui disparu, le cimetière des Innocents. Après plusieurs siècles d’existence en plein cœur de la ville, il est fermé en 1780. Les ossements de celles et ceux qui ont été inhumés seront déposés dans les carrières. Pendant 25 ans, les restes des parisiens de 17 cimetières sont ainsi transférés dans les cavités souterraines qui ne sont plus exploitées.


durée de la vidéo : 00h02mn50s







Catacombes, un ossuaire bien vivant – Épisode 2



©France 3 Paris Île-de-France

Focus sur un lieu destiné à honorer les morts et à faire frissonner les vivants. Les anciennes carrières ont été consacrées religieusement pour être transformées en lieu de sépulture.
Pendant plusieurs décennies, une messe y sera même célébrée une fois par an.

Louis-Etienne Héricart de Thury, l’inspecteur général des carrières, envisage des aménagements du site afin de le rendre accessible au public et de transformer la visite en une expérience méditative et philosophique. La paléopathologie permet d’étudier et d’analyser le développement de maladies telles que la peste et la syphilis. Grâce à cette discipline, il est possible d’observer l’évolution de ces maladies au fil du temps. Pendant 25 ans, les restes des parisiens de 17 cimetières sont transférés dans les cavités souterraines inutilisées. Ces anciennes carrières ont été consacrées religieusement pour servir de lieu de sépulture, avec une messe célébrée chaque année pendant plusieurs décennies. Louis-Etienne Héricart de Thury, l’inspecteur général des carrières, conçoit des aménagements pour ouvrir le site au public et en faire une promenade méditative et philosophique. Son objectif est de permettre aux visiteurs de profiter de l’expérience de manière réfléchie et contemplative.

Dans ce dernier épisode, l’accent est mis sur la science. Une vaste étude scientifique a été lancée en partenariat avec l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. Les restes humains rassemblés dans les catacombes offrent une occasion unique de découvrir des informations précieuses sur la santé et l’histoire de nos ancêtres.

Le médecin légiste et directeur du Laboratoire d’anthropologie, d’archéologie et de biologie (LAAB), Philippe Charlier, supervise cette étude visant à estimer le nombre de personnes inhumées dans ce lieu. Les ossements, marqués par des déformations, des maladies et des amputations, recèlent encore de nombreux mystères à percer. La paléopathologie permet d’observer et d’analyser le développement de maladies telles que la peste ou la syphilis. Grâce à cette étude, nous pouvons mieux comprendre l’évolution de ces maladies au fil du temps.

Les catacombes de Paris sont un lieu fascinant qui attire plus de 600 000 visiteurs chaque année. Situées dans le 14ᵉ arrondissement de Paris, ces catacombes abritent un ossuaire unique au monde. Dans cet article, nous vous invitons à découvrir l’histoire et la conservation de ce site exceptionnel.

Depuis la fin du 18ᵉ siècle, les catacombes ont été aménagées dans d’anciennes carrières. Aujourd’hui, un vaste programme de restauration est en cours pour préserver ces restes humains qui sont exposés aux ravages du temps, à l’affluence des visiteurs et à une atmosphère confinée. Ce patrimoine fragile nécessite une surveillance constante et des soins spécifiques, notamment la reconstruction régulière des murs d’ossements.

Dans le premier épisode de notre série, nous nous plongeons dans les coulisses de la conservation des catacombes. Cette campagne de restauration, lancée en 2023, vise à protéger ce site unique et à préserver son intégrité. Les ossements qui reposent dans les catacombes sont le témoignage d’une histoire riche et complexe, et il est essentiel de les préserver pour les générations futures.

Le deuxième épisode de notre série explore l’origine des dépouilles qui reposent dans les catacombes. Hommes, femmes et enfants reposent à 20 mètres sous terre, mais comment sont-ils arrivés là ? Tout commence dans le cimetière des Innocents, un ancien cimetière parisien aujourd’hui disparu. Les ossements ont été déplacés dans les catacombes pour des raisons sanitaires et de sécurité, formant ainsi cet ossuaire unique.

Les catacombes de Paris sont bien plus qu’un simple lieu touristique. Elles sont le reflet de l’histoire et de la mémoire collective de la ville. À travers ces reportages, nous vous invitons à plonger dans l’univers mystérieux et fascinant des catacombes, un lieu chargé de secrets et d’histoires à découvrir.

En conclusion, la paléopathologie nous permet de mieux comprendre l’évolution des maladies à travers le temps, tandis que les catacombes de Paris nous offrent un aperçu unique de l’histoire et de la mémoire de la ville. Ces deux domaines de recherche nous invitent à explorer le passé pour mieux appréhender le présent et envisager l’avenir avec davantage de connaissances et de compréhension.

SOURCE

Deja una respuesta

Tu dirección de correo electrónico no será publicada. Los campos obligatorios están marcados con *