Le bombardement de la ville de Sanaa, au Yémen, a causé la mort d’au moins 31 personnes selon les rebelles houthis, et blessé 101 autres, le samedi 15 mars. Peu de temps auparavant, le président américain, Donald Trump, avait déclaré que l’armée américaine avait mené des frappes «décisives» contre le groupe rebelle au Yémen. Une attaque américano-britannique a visé un quartier résidentiel du nord de la capitale Sanaa, contrôlée par les Houthis, selon la chaîne de télévision des rebelles Al-Massirah. Les États-Unis ont lancé «une action militaire décisive et puissante» contre le groupe rebelle au Yémen, a annoncé Donald Trump sur son réseau Truth Social samedi. Au Yémen, des frappes ont causé la mort d’au moins 31 personnes dans la ville de Sanaa, selon les rebelles houthis. «Nous utiliserons une force létale écrasante jusqu’à ce que nous ayons atteint notre objectif», a-t-il ajouté. Le président américain a également demandé à l’Iran d’arrêter immédiatement son soutien aux terroristes houthis. «Ne menacez pas le peuple américain, leur président (…) ou les routes maritimes mondiales. Et si vous le faites, attention, parce que l’Amérique vous en tiendra totalement responsable et nous ne vous ferons pas de cadeau !», a écrit Donald Trump sur Truth Social. «Le gouvernement américain n’a aucune autorité et aucun droit de dicter la politique étrangère de l’Iran», a répondu le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, appelant à cesser de tuer le peuple yéménite. Dimanche, un communiqué de Téhéran a également condamné des frappes barbares. De leur côté, les houthis ont averti que «cette agression ne restera pas sans réponse». «Nos forces armées sont prêtes à répondre à l’escalade par l’escalade», a déclaré le bureau politique des rebelles dans un communiqué diffusé sur Al-Massirah.

Un peu plus tôt samedi, le président américain, Donald Trump, a fait état d’une action militaire décisive et puissante contre…

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Le pape François montre des signes d’amélioration mais reste hospitalisé pour continuer sa thérapie, a annoncé le Vatican. Il est en traitement depuis plus d’un mois pour une double pneumonie et doit poursuivre sa rééducation à l’hôpital malgré les progrès notables de sa santé, a déclaré le Vatican samedi soir. Le souverain pontife, âgé de 88 ans, est hospitalisé à l’hôpital Gemelli de Rome depuis le 14 février en raison d’une bronchite devenue une pneumonie affectant les deux poumons. Son état est jugé «stable» et son pronostic vital n’est plus en danger, mais il nécessite encore des soins hospitaliers, notamment de la kinésithérapie motrice et respiratoire, selon le dernier bulletin médical officiel publié samedi. Le pape François montre des signes d’amélioration mais reste hospitalisé pour suivre sa thérapie, a annoncé le Vatican. Cependant, le pape «a encore besoin de soins médicaux hospitaliers, de kinésithérapie motrice et respiratoire». Le Vatican n’a pas fourni de détails sur la routine quotidienne du pape ni sur la durée prévue de son hospitalisation. «Il faut du temps pour qu’un corps de 88 ans atteint d’une double pneumonie se rétablisse, y compris en termes d’énergie et de force», a souligné le service de presse du Vatican. Le pape François, qui a subi une lobectomie du poumon droit à l’âge de 21 ans, souffre de fragilités respiratoires et a rencontré de nombreux problèmes de santé au fil des ans. Il n’est pas apparu en public depuis son admission au Gemelli le 14 février.

«Les conditions cliniques du Saint-Père sont restées stables, ce qui confirme les progrès observés au cours de la semaine», a…

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Un réseau spécialisé dans le vol d’engins de chantier a été démantelé en Nouvelle-Aquitaine, a appris ce samedi franceinfo auprès de la gendarmerie. Le préjudice s’élève à plus de 4 millions d’euros, chaque engin valant entre 40 000 et 80 000 euros. Depuis 2023, près de 90 engins de chantier, «de type mini-pelle», selon la gendarmerie, ont été volés dans la région, surtout en Gironde. L’enquête a permis «d’identifier un réseau organisé et d’interpeller plusieurs suspects.» Sollicité par franceinfo, le chef d’escadron Emmanuel, chef de la division criminalité organisée à la section de recherches de Bordeaux, parle de «gens aguerris, qui ont une connaissance fine du démarrage et du déplacement des engins pour les voler en temps record.» D’après les premiers éléments de l’enquête, les malfaiteurs utilisaient un fourgon avec de fausses plaques, attelé avec «une remorque plateau et parfois équipé d’un gyrophare amovible.» Pour ne pas se faire repérer, ils portaient des chasubles fluorescentes «pour ne pas éveiller les soupçons sur les chantiers.» Face à la multiplication de ces vols, la gendarmerie a mis en place une cellule nationale d’enquête à partir du mois de novembre dernier, l’enquête a été confiée à la section de recherches de Bordeaux renforcée par la gendarmerie de Gironde. Une opération d’interpellation a finalement eu lieu ce mardi. 8 personnes ont été interpellées, en Gironde, dans les Landes, en Charente-Maritime et dans le Gers. Démantèlement d’un réseau de vol d’engins de chantier : Plus de 4 millions d’euros de préjudice

Un réseau spécialisé dans le vol d’engins de chantier a été démantelé en Nouvelle-Aquitaine, a appris ce samedi franceinfo auprès…

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